LCBI citée dans l’étude “Immobilier & ESG – Le secteur immobilier en pleine mutation ESG”

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Juillet 2024

En France, le secteur de l’immobilier est la quatrième industrie la plus émettrice de gaz à effet de serre après le secteur du transport routier, de l’agriculture et de l’industrie manufacturière. Comment faire évoluer le secteur immobilier afin d’enclencher une transformation plus vertueuse qui répond mieux aux critères ESG ?
Cette étude réalisée par Forvis Mazars se centre sur la déclinaison d’une vision RSE en stratégie opérationnelle ESG.
LCBI a l’honneur d’être citée à la page 8 en tant qu’acteur majeur oeuvrant au développement d’une méthode de calcul standardisée au niveau européen de l’empreinte carbone d’un bâtiment sur tout son cycle de vie.

Synthèse de l’étude:

Les métiers de l’immobilier sont, avant tout, des métiers tournés vers l’exploitation du bâti. Il semble donc capital de recentrer les débats sur les trois piliers constitutifs du cycle de vie d’un actif, à savoir : la construction, l’exploitation et l’usage qu’en font les occupants. L’anticipation des cycles de vie de l’immeuble, via des rénovations énergétiques non adaptées à la préservation des ressources, ne va pas dans le sens de la durabilité.

Être responsable induit parfois d’accepter d’utiliser au maximum les actifs, tout simplement.

L’engagement RSE et la mise en place de politiques ESG efficaces demandent à notre industrie de prendre du recul. De nos différents échanges, nous retirons l’idée forte qu’à la base des actions de transformation vertueuse, il y a souvent des gestes simples et des initiatives primaires, à l’échelle individuelle, et répétées dans le quotidien. La course à la donnée, à la labellisation et à l’image d’excellence entache les convictions les plus pures en matière de sobriété énergétique, et nous fait quelquefois oublier l’essence même de nos implications. Car l’essentiel est à la fois de moins consommer et de mieux consommer.

L’un des combats en matière de réglementation européenne est qu’elle devienne la plus applicable possible sur le plan opérationnel. En effet, les actions concrètes mises en place dans les organisations du secteur immobilier ne sont parfois pas en phase avec les obligations légales européennes, alors qu’à l’évidence les différents acteurs souhaitent œuvrer dans le bon sens.

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